C’est le résultat d’une enquête réalisée par l’Observatoire de la qualité de l’air intérieur en France…
Et au vu de la qualité de l’air de notre chère et tendre capitale, ça ne doit pas être bien propre dans nos chambres, salles de bain ou cuisines.
Imaginez vous en train de dormir dans un hamac, dans un laboratoire de tests chimiques, suspendu à deux tuyaux dans lesquels circulent des liquides toxiques, au dessus d’une voiture allumée…
Le constat du test sur un échantillon de 600 maisons réalisé pour cette étude pourrait ressembler un peu à ça (bon j’exagère un peu quand même :-D)
Mais il y a les plantes dé-polluantes !
Pensez-vous qu’un morceau de bambou arrive à absorber tout le gaz d’échappement de la voiture au-dessus de laquelle vous dormez dans votre confortable hamac ?
En tout cas, les scientifiques en sont sceptiques. Au contraire, ils pensent qu’au mieux il ne se passe rien, et au pire, vous déclenchez des allergies. 
Quelles solutions pour dépolluer ou limiter cette pollution intérieure ?
Ici il s’agit d’un vrai problème de santé publique.
Pensez-vous que les machines « purificateur d’air » fonctionnent ?
Sinon voici quelques principes que j’utilise personnellement :
- Je limite mes achats de produits d’entretien au minimum. Que le strict nécessaire, que l’utile
- J’isole ces produits dans un endroit où l’on n’y passe pas beaucoup de temps (je ne les mets pas dans la cuisine, où on prépare notre alimentation)
- J’aère mes pièces plusieurs fois par jour, même pendant l’hiver
Avez-vous d’autres conseils à partager ?
Ce post a été inspiré par un article du Metro France du 14/09/2011
Leila PONS
Pour l’aération c’est 15 min maxi par jour. Il faut aussi éviter les bougies et autres parfums d’ambiance…
Et oui, si c’est jolie et que ça sent bon, que cela sublime notre déco et notre ambiance, ces parfums libèrent dans notre intérieur des produits toxiques.
Quand aux plantes dépolluantes vous pouvez en user et en abuser car elles poussent très facilement dans tous les milieux même les pièces privées de lumière (à condition d’y apporter une lumière artificielle)