Cela fait maintenant quelques années que nous avons adopté le recyclage et le tri de nos déchets dans notre quotidien en France. Le tri du papier et du plastique est bien entré dans nos mœurs, mais qu’en est-il du tri des déchets textiles comme les vêtements, les linges de maison et les chaussures ?
Dans cet article, je vous présenterai 1 bonne pratique à adopter pour leur donner une seconde vie.
Recycler les Textiles, Linges et Chaussures (TLC) avec La fibre du tri
Je viens de découvrir que l’on peut donner une deuxième vie à ses vêtements grâce au 35 000 adresses identifiées par la filière. Ces points d’apport couvrent une grande partie du territoire et ont permis de récupérer plus de 175 000 tonnes de déchets à recycler, permettant ainsi de réduire les déchets à incinérer, créer des emplois, …
C’est un système vertueux qui a un énorme impact positif sur l’environnement considérant tous les vêtements, linges et chaussures achetés régulièrement.
Savoir bien trier vos TLC avant de les déposer : les textiles doivent être impérativement secs. Vous pouvez consulter les consignes de tri sur le site de la fibre du tri. Une fois que vous avez pris connaissance des règles à respecter, vous vous demandez certainement où déposer vos sacs ? Il faut les apporter dans un Point d’Apport Volontaire (PAV), souvent situé sur la voie publique, les parkings de magasins, les locaux d’association… une carte exhaustive est disponible sur le site lafibredutri.fr .
Il est important de vérifier que les PAV portent le logo repère de la filière. Ce logo permet, de s’assurer qu’il y a une bonne traçabilité des vêtements qui seront ensuite confiés à des opérateurs conventionnés par Eco TLC. Eco TLC est l’éco-organisme de la filière du textile, du linge de maison et des chaussures, société privée, à but non-lucratif créée par des professionnels de l’industrie des TLC afin de s’unir pour assumer leur responsabilité environnementale.
J’espère qu’après avoir découvert ceci, vous ne jetterez plus vos vêtements, linges et chaussures à la poubelle.
